Retour de week-end, chargé...
L'actualité va plus vite que moi : Israël, Liban, Palestine,Irak... un peu partout, des gens meurrent à cause de la folie guerrière, incendiaire, carnassière...La folie humaine.

Mon but n'est pas de revenir sur cette actualité au Proche-Orient. Biensûr, c'est grave, préoccupant, inquiétant. Utilisez l'adjectif que vous pensez le mieux approprié dans ce jeu de massacres. Il faut vraiment croire que c'est un jeu pour eux de se tuer. Une question d'honneur ? Bien plus compliqué que ça...
Mais ce serait si simple de poser les armes, de dire "assez"...

Pendant ce temps, le monde continue de se dégrader par la force des choses, à cause de l'homme.

Sans minimiser la douleur pour la perte de 45 civils libanais, plusieurs soldats et civils israëliens, aujourd'hui, sur terre, il y a :

16125 espèces animales et végétales menacées de dispariton, selon une liste rouge de l'Union Internationale pour la conservation de la nature.

Au rythme des guerres ethniques ou religieuses, l'espèce humaine fera bientôt partie de cette liste.

Fragile Nature...

Photo : "Nature Fragile"  Mouscron - FAB

La rubrique "Mots choisis" revient avec un texte extrait d'Ushuaïa Magazine N° 10, le sujet traité : la forêt...Tiens donc !!!

"Comment dépeindre une forêt idéale ? Une forêt où la nature exprimerait l'harmonie nécessaire au cycle de la vie. L'équipe d'Ushuaïa Nature en a croisé plus d'une au cours de ses voyages. Soucieuse de témoigner de la richesse de ces édens, elle nous guide dans la forêt de Tangkoko, au Sulawesi, au sommet d'un figuier étrangleur, ou sur les rives du Rio Sucuriu, au Brésil pour saisir l'alliance nécessaire entre le monde animal et le monde végétal.
Elle s'attarde sur l'ingéniosité des plantes à s'adapter à des univers hostiles comme au creux des tepuy du Vénézuéla, ou celle des Korowai, en Irian Jaya, qui ont choisi la forêt comme jardin où demeurer dans le plus grand respect à son égard.

Un message fort parce que les forêts recouvrent un tiers de la surface du globe et que, tout comme l'eau, nous ne pouvons vivre sans elles."

Extrait d' Ushuaïa Magazine N° 10

Photo : Quelque part en forêt de Phalempin - FAB

Hier fût une journée agréable, en famille, qui commença par une grasse matinée, se prolongea par un pique-nique en fôrêt suivi d'une balade à l'ombre de nos grands arbres.

Pour compléter la journée, nous nous sommes rendus au parc MOSAïC "le jardin des cultures" : sur 33 hectares, ce parc nous a fait voyager par la découverte de la diversité des habitants de la Métropole Lilloise.
Je m'explique : ce parc est un mariage (réussi) entre jardins, arts, animaux et histoires d'hommes.

Un écrin de verdure, riche de culture, où petits et grands s'extasient devant la diversité des plantes, ou devant un vol de libellule.

Quelle belle journée. CARPE DIEM.

Photo : l'île Africa Mama - Parc MOSAïC - FAB

Le réchauffemet de la planète est (ou plutôt devrait être) une préoccupation majeure de notre monde actuel. Si les températures moyennes augmentent de cinq degrés durant l'été sous l'effet de réchauffement climatique d'ici la fin du XXIe siècle, les glaciers auront pratiquement disparu de la face des Alpes. C'est ce que montre une étude publiée par l'Université de Zurich. Alors que les glaciers alpins ont perdu la moitié de leur surface depuis 1850, des chercheurs de l'Institut géographique de l'Université de Zurich ont élaboré plusieurs modèles pour mesurer l'impact des répercussions climatiques sur la masse glaciaire. Selon leurs calculs, avec une hausse de la température de 3 degrés, la surface de glace dans les Alpes aura diminué de 80%. Si cette hausse atteint les 5 degrés, les glaciers auront disparu du paysage à la fin du XXIe siècle. Et c'est tout à fait réaliste !!! " C'est dans ces régions de montagnes fortement peuplés, comme les Alpes, qu'il faut réfléchir aux conséquences d'une fonte massive des glaciers, sur le cycle de l'eau, l'économie hydraulique ou les dangers naturels" souligne l'étude. Je ne suis pas un expert de l'Université de Zurich, mais il est évident que le réchauffement planètaire est du en grande partie au dégagement de CO2 partout sur le globe : Trafic routier, aérien et même maritime de plus en plus important,effet de serre, CO2, pollutions, déforestation participent tous au phénomène. "Que faire ?" me direz-vous. Agir au quotidien, changer les comportements et petit à petit interpeller nos hommes politiques qui commencent à prendre conscience de l'écologie, de l'environnement. Il est temps d'ailleurs qu'ils s'y mettent. C'est aussi la planète de leurs enfants et petits-enfants... Photo : Grandes Jurasses - vallée de Chamonix Alpes Françaises - www.maion.com