• Une fois n'est pas coutume, je laisse parler mon imagination...


    Dans ce bas-monde, tout est fait pour vous complaire dans une suffisance matérielle sans âme.
    J'aimerai tant que cela change.
    J'aimerai tant que les gens laissent parler leurs rêves...


    J'aimerai chevaucher ce dragon de pierre, aux épines dorsales de fer.


    Partir vers le ciel pour m'évader de ce monde fou et dangereux.


    Ne penser à rien et profiter de l'instant présent...Tiens !


    CARPE DIEM.


    Photo : Pont en béton à Mouscron (Belgique) - FAB


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  • L'actualité évolue très vite, et pour une fois, elle est, provisoirement favorable aux baleines...


    Paris, France — 17/06/2006 - Les baleines peuvent reprendre leur souffle. A l'issue de la journée inaugurale de la Commission Baleinière Internationale (CBI), les pays pro-chasse, emmenés par le Japon, ont vécu deux déconvenues de taille. Par 32 voix contre 30, les pays présents ont rejeté une demande japonaise visant à voir disparaître toutes références à la conservation des petits cétacés (dauphins et marsouins) dans les prérogatives de la CBI tout comme ils se sont opposés, sur un score de 33 voix contre 30, à l'introduction du vote à bulletin secret.


    "Les pays anti-chasse doivent prendre très au sérieux ce nouvel avertissement et se montrer plus pro-actifs  pour protéger les baleines, analyse Shane Rattenburry chargé de campagne océans pour Greenpeace International. Depuis 20 ans le Japon garde l'activité de chasse sous perfusion, en invoquant la "science", il est temps qu'il abdique et se rende compte que cette voie est sans issue."


    Notes:


    (1) - Détails de cette campagne disponibles sur http://oceans.greenpeace.org/fr/l-expedition/nouveaut%C3%A9s/les-baleiniers-percutent-un-ba


    (2) - Rapport en anglais: http://www.greenpeace.or.jp/press/reports/q_whaling_eng.pdf


    J'espère qu'un jour, nous cesserons de chasser les baleines, car j'ai un rêve encore non réalisé : aller nager avec elles...

    Soutenons Greenpeace dans ces campagnes contre la chasse aux cétacés.

     

    Source articles & photo : Greenpeace - site internet France

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  • Comme d'habitude, je fais ma revue de presse écrite et sur internet. L'actualité récente m'amène à parler aujourd'hui d'un massacre organisé : la chasse aux baleines orchestrée depuis longtemps par le Japon, qui refuse de se plier aux lois internationales sur ce domaine... Je vous l'avais dit que le Japon n'est pas un exemple dans tous les secteurs.


    Donc, une fois de plus grâce à Grenpeace-France (la totalité des informations suivantes étant extraites de leur site), je vous laisse juger par vous-même.


    Les baleines peuplent les océans depuis des millions d'années et constituent un maillon essentiel de l'écosystème océanique. La chasse baleinière a menée l'une après l'autre les espèces de baleines au bord de l'extinction. Suite à l'effondrement des populations, les pays baleiniers ont créé un organe international pour la gestion des stocks : la Commission Baleinière Internationale (CBI).


    Aujourd'hui, malgré l'entrée en vigueur d'un moratoire en 1986, deux pays, le Japon et la Norvège, persistent dans l'exploitation commerciale des baleines et tentent d'entraîner dans leur sillage d'anciens pays baleiniers comme l'Islande et la Corée. Malgré les incessantes condamnations de la communauté internationale, des centaines de baleines sont ainsi massacrées chaque année et pour nombre d'entre elles en Antarctique, dans un sanctuaire baleinier où la chasse est de fait bannie. Depuis plus de 30 ans Greenpeace dénonce et s'oppose aux flottes de chasse sur toutes les mers du globe,  pour obtenir l'arrêt complet et définitif de la chasse baleinière.

    La survie des baleines est également remise en cause par d'autres activités humaines.

    Les baleines et les petits cétacés (dauphins, marsouins) sont victimes des engins de pêche : chaque année, 300.000 d'entre eux meurt accidentellement dans les filets de pêche.

    En outre, leur santé est gravement altérée par les pollutions chimiques, à l'origine de cancers et de problèmes de reproduction chez les cétacés, mais également sonores (tests sismiques menés dans le cadre de la recherche d'hydrocarbures, cause de dommages irréversibles sur le système d'orientation des mammifères marins).

    Enfin, les activités humaines entraînent un réchauffement de la température des océans, cause de modifications profondes des écosystèmes en particulier dans la zone Antarctique dont dépendent d'importantes populations de baleines  pour leur alimentation.

     Source article & photo : Greenpeace - site internet France


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  • Que l'on se sente concerner ou pas, regardez autour de vous : canicule, réchauffement de la planète, nappes phréatiques au plus bas même dans le sud de la France...


    Alors, imaginez en Afrique : en Ethiopie, chaque personne dispose de 5 litres d'eau par jour pour vivre (pas minérale et pas forcément potable...) 
    Une douche ici en France : 60 à 80 litres...

    Il faut prendre conscience que "l'eau c'est la vie" et que sans elle, notre belle planète bleue n'a plus d'espoir et n'en aura bientôt plus que le nom.


    Au quotidien, des petits gestes simples vous feront économiser l'eau.
    J'en reprends quelques-uns cités dans Le Petit livre Vert pour la Terre :


    - Lutter contrer les petites fuites du robinet ( à l'origine d'un gaspillage qui représente 20% de notre consommation)


    - optimiser la chasse d'eau des toilette...
    Cela peut vous paraitre ridicule; Repensez à l'Ethiopie, car l'eau de vos toilettes est la même qui coule de votre douche...Elle est potable !


    - Fermer le robinet, lorsque par exemple, vous vous lavez les dents ( 12 litres/minute si on laisse l'eau couler ).


    Et d'autres gestes peuvent vous faire économiser beaucoup...
    Arrêter de laver sa voiture, arroser le jardin modéremment et aux heures du soir, etc, etc, etc...


    Je vous rappelle le site créé par La Fondation Hulot :


            http://www.defipourlaterre.org


    Photo : "Terre craquée" - Halluin - FAB


     


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  • La barrière de corail de Nouvelle-Calédonie,le deuxième plus vaste ensemble corallien (1600 km) après celui d'Australie pourrait bientôt être inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO.
    Ce serait une chose tout à fait logique et normale, quant on connait la biodiversité qui y vit. Et encore seuls 20% des éléments y vivant sont connus...
    L'ensemble des récifs coralliens de cette région font partie des éléments les mieux préservés, en raison de la faible densité de population, et surtout par la culture calédonienne qui se veut proche de la nature, qui la respecte depui toujours.

    Malheureusement, certaines inquiétudes demeurent car deux projets de mines à ciel ouvert et d'usines métallurgiques sont programmés. Ces usines rejetteraient des flux de sédiments vers la mer, ce qui provoquent érosion et écrasement des coraux.
    De plus, les cyclones et l'augmentation de la température de l'eau (due au réchauffement planètaire) provoquent également des dégats sur les coraux (blanchissement irréversible et mort de ces derniers).

    La disparition des coraux entrainerait également une disparition des espèces aquatiques vivant autour de la barrière, puisqu'elle constitue leur lieu de vie, de recherche de nourriture, etc...

    A n'en pas douter, ce classement au patrimoine mondial est indispensable.
    et comme le préconise Greenpeace, il faut sauver les océans (tous les océans...) en créant des réserves marines partout sur la planète car les océans couvrent les deux tiers de celle-ci et contiennent 80% de la biodiversité "terrestre".

    Pour suivre jour après jour le périple de l'Esperenza, bateau phare de Grenpeace, je vous invite à vous rendre sur le site :

          http://www.oceans.greenpeace.org/fr

     


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